Alain GRAUX
- La Société en nom collectif « L'Olivier frères et compagnie" composée de Martial et Victor et Alodie-Rose L'OLIVIER, agissant aussi en leur nom personnel,
- La Banque de Bruxelles, S.A., représentée par Isaac STERN, banquier,
- Léopold WIENER, bourgmestre de Boisfort, demeurant à Bruxelles,
- Eugène VAN OVERLOOP, banquier à Bruxelles,
- Ernest URBAN, ingénieur à Bruxelles,
- Georges de LAVELEYE, propriétaire à Ixelles,
- Léon LEVEL, fabricant de gants à Bruxelles,
Ils créent la "Société anonyme des carrières de Saint-Georges" à Feluy, dont le siège est fixé à la Banque de Bruxelles, audit lieu, pour une durée de 30 ans.
Le fonds social est fixé à 3.200.000 frs, représentés par 6.400 actions privilégiées de 250 frs, et par 6.400 actions ordinaires de 250 frs.
Oscar
PENNART-WINCQ fait apport de:
- Une cité ouvrière de 29 maisons et dépendances (Le
hameau Saint-Georges), tenant aux héritiers DENIS, au chemin de Feluy à Seneffe
et de deux autres côtés à un sentier, cadastrés section C. parcelles 548b à
548z; 548a2, b2, c, f, g, h, i, m, pour les avoir fait
élever à ses frais sur le terrain acquis à Mr Léopold WINCKEL, cultivateur à
Feluy, le 24-10-1873, devant le notaire DUMONT à Feluy.
- Une ferme à Feluy, avec différents bâtiments,
grange, maisons d'employés, magasins, écuries, remises, sis tenant à un chemin,
à Oscar Pennart, au chemin de
F'eluy à Gouy-lez-Piêton et à Philippe BREDA, cadastrés C.316 a, b, c, f, g, h,
i, n, acquis par voie de partage avec Son frère Victor Pennart, suivant acte passé devant le notaire DUPRET à
Seneffe le 8-3-1864 et le 16-4-1864.- Deux carrières réunies, sises à Feluy comprenant machines, forge, bureaux, scierie à pierre et au bois, four coulant, chantiers et dépendances tenant à VANDEN DOOREN, BREDA, DARTEVELLE, GOREZ, LATTEUR, à un sentier, à l'ancien chemin de Mons, au chemin n° 7 dit de Crombize, à Nicolas DERIDEAU et à Pierre DENIS, connus au cadastre section C parcelles 613 c, f, g, e, h ; 614c, 622e, g, 620g, 621b, d,
Les biens ci-dessus ont une superficie de
- Il reçut une partie des deux carrières par voie de partage par indivis avec Victor Pennart, Suivant acte passé devant le notaire DUPRET, le 8-3 et 16-4-1864.
-
-
-
-
- La moitié d'un terrain à Feluy provenant du chemin Saint-Ethon ou de Crombize, portant le n° 7 et d'une partie du sentier n° 87 contenant
Messieurs
L'OLIVIER et Mme VAN LOQUEREN apportent :
- Une carrière sise à Feluy, comprenant machines, scierie,
maison d'employé, ferme, grange et dépendances, tenant au chemin de Feluy à
Gouy-lez-Piéton, au chemin de Mons à Nivelles et au chemin de Crombize.
- Une partie de terre servant de remblai tenant à MM.
MELOT et VANDEN DOOREN et à l'ancien chemin de Mons à Nivelles, connus au
cadastre section C. parcelles 460a, 461, 462, 463, 466a, c, 464b, c, 467a, f ,
faisant - La moitié d'un terrain provenant du chemin de Saint-Ethon ou Crombize n° 7 et une partie du sentier 87, contenant 13a. 97ca, pour le chemin et 1a. 98 ca, pour le sentier.
Ces biens leur appartenant:
- La carrière sur une étendue de
-
-
- La moitié du sentier 87 et du chemin 7, acquis à la Commune de Feluy le 23-5-1881, devant le notaire DOUMONT.
- Le matériel, outillage et mobilier existant dans les carrières.
Ils recevront 1620 actions privilégiées de 250 frs, et
M. Oscar Pennart 2780 actions
privilégiées et 6.400 actions ordinaires.
s 200 actions restantes sont souscrites par:La Banque de Bruxelles : 1830 actions.
M. Wiener 50 actions
M. Urban 50 actions
M. Van Overloop 50 actions
M. de Laveleye 10 actions
M. Level 10 actions
La société fut administrée par un conseil de cinq commissaires,
et pour la première fois de MM. LEVEL et Camille LAURENT, avocat demeurant à
Charleroi.
L'assemblée générale décida que la présidence
reviendrait à M. Georges de Laveleye,
commissaire.Les administrateurs étant M. MACOIR, O. PENNART, E. URBAN, E. VAN OVERLOOP, L. WIENER[1]
Le premier bilan arrêté le 16-10-1882, nous renseigne sur la vie de la société à ses débuts, et voici des extraits significatifs :
Actif
Immeubles, constructions, chemin de fer
2.579.198, 11 frs.Matérie1, mobilier, chevaux 233.628, 18 frs.
Objets, approvisionnement 33. 109, 19 frs.
Magasin de Pierres 92. 679, 19 frs.
Fabrication de briques 46, 97 frs.
Travaux préparatoires 34.407, 82 frs.
Espèces en caisse 1.456, 20 frs.
Débiteurs 141.379, 76 frs.
Banquier 113.395, 00 frs.
Effets à recevoir 129.963, 92 frs.
-----------------------
.359 .282. 72 frs.
Crédit
Bénéfices sur ventes de pierres 121.666, 99 frs.Bénéfices sur ventes de chaux 11.504, 91 frs.
Bénéfices sur ventes de briques 350, 04 frs.
Loyers 2.307, 66 frs.
Intérêt de compte courant 4. 599, 38 frs.
------------------------
140.428, 98 frs. [2]
Vue actuelle du trou Saint-Georges et du trou Scaron
La carrière Saint-Georges au début du siècle
L’entreprise n’était pas assez connue, la société
décida de montrer ses produits à l'exposition internationale d’Amsterdam de
1883, elle y reçut la médaille d'or.
Le 18-6-1884, devant le notaire DONCKER de Bruxelles, au
siège de la société, rue Royale à Bruxelles, eut lieu une assemblée générale, présidée
par Edmond MACOIR, ingénieur demeurant à Quenast, vice-président du conseil
d'administration en l'absence du Président E- URBAN.
Victor RUYTERS, secrétaire de la banque de Bruxelles
est désigné secrétaire.
A l’ordre du jour, il y a la mise en liquidation de la
société et la nomination de liquidateurs, mais l'assemblée ne réunit que la
moitié des actionnaires, l'assemblée ne peut donc pas délibérer. Ne sont
présents qu’Oscar Pennart,
directeur-gérant, ayant 1900 actions faisant 52 voix; Charles-Auguste
BOUILLOT-WASSION ayant 50 actions, faisant 50 voix; Georges de LAVELEYE ayant
l0 actions et Camille LAURENT, avocat à Charleroi ayant 10 actions[1]
A cette époque l'actif de la société se monte à 3.287.167, 87 frs.
Le débit, Pertes et Profits indique:
Les amortissements
sur immeubles 16.218, 42 frs.
Les amortissements
sur chevaux, matériel d'écuries: 1.971, 43
frs.
Les amortissements
sur frais d'expo à Amsterdam : 753, 28 frs.
Frais d'administration 15.500, 00 frs.
Solde à nouveau 146, 40 frs.
------------------
34.589, 54 frs.
Crédit
Reliquat 1882- 1883 2.260, 11 frs.
Bénéfices sur ventes de pierres 17.110, 28
frs.
Bénéfices sur ventes de chaux 11.734, 27
frs.
Bénéfices sur ventes de briques 831, 90 frs.
Approvisionnements 130, 35 frs.
Loyers 2.521, 93 frs.
------------------
Total
34.521, 93 frs[2]
Le 5-11-1884, une nouvelle assemblée générale décida
de modifier le capital social de la société en remplaçant 6.400 actions
ordinaires par 6.400 actions de dividendes, le montant du capital est fixé à
1.600.000 frs.
Les actionnaires sont alors plusieurs banques
bruxelloises et deux gros actionnaires: Oscar PENNART possède 1.990 actions et
Victor PENNART, 2.200 actions sur un total de 10.456 actions.
Décidés à moderniser l'entreprise ils décident
d'intensifier la mécanisation.
Le 30-9-1886, la société demande 1'autorisation
d'établir sept chaudières et quatre machines à vapeur[3]
* Une machine de 6 cv, pour l'extraction de la pierre
et des terres, avec une chaudière de 5 atmosphères, sur la parcelle C.640f.
* Une nouvelle chaudière de 4 atmosphères à la machine
servant à scier la pierre, dans la parcelle cadastrée C 622b.
* Une machine à vapeur de 1,5 cv, servant à scier la pierre et une chaudière
faisant 8 atmosphères placée sur la parcelle C. 466e.
* Une nouvelle chaudière de 5 atmosphères pour 1a
machine servant à extraire la pierre dans la parcelle C.613h.
* Une machine à vapeur de 10 cv, servant à l'extraction
de la pierre et une chaudière faisant 7 atmosphères sur la parcelle C. 460e.
* Une machine à vapeur de 12 cv, pour l'épuisement des
eaux et une chaudière de 5 atmosphères pour la parcelle C. 460c.
* Une nouvelle chaudière de 5 atmosphères pour 1a
machine â extraire la pierre dans la parcelle C.460c.
La société reçut l'autorisation de mettre en place
toutes ces machines le 22 octobre 1886.
Le l5-5-1899, les carrières Saint-Georges demandent l'autorisation
de pouvoir installer une briqueterie sur son terrain sis au "Trou des Diables", cadastré C.468e,
le long du chemin Saint-Ethon. Elles y sont
autorisées le 3-6-1899[1]
Le 31-3-1900, 0r installe une énorme machine à vapeur
de 115 cv, actionnant le travail général
de la carrière dans le bâtiment situé dans la parcelle C.460h.
Le 14 février 1903, au siège social de la société, à Bruxelles,
et devant le notaire Maurice de DONCKER, une assemblée générale est convoquée.
La séance fut reportée au 2l mars Car le nombre d'actionnaires était
insuffisant. Le jour dit les actionnaires du moment décidèrent la liquidation et
la dissolution de la société anonyme :
-
La Banque de Bruxelles, représentée par Ernest URBAN, président du
Conseil d'administration et Hector MONNOM, sous-directeur de la S.A.
La banque
possède 5.277 actions. Privilégiées (A.P.) et 3.443 actions de dividendes
(A.D.)
- Ernest URBAN, ingénieur à
Bruxelles (30 A .P et 34 A .D)
- Jean de BOECK, propriétaire
à Bruxelles (5
A .P. et 2
A .D.)
- Louis DUPONT, agent de
change à Bruxelles (10 A .P.)
- Emile EECKMAN, premier
président honoraire de la Cour d'appel de Schaerbeek (5 A .P.)
- André KELCHTERMANS,
propriétaire à Bruxelles (10 (AP)
- Hector MONNOM, de Bruxelles (10 A .P.)
Les liquidateurs désignés sont: Hector MONNOM; Charles
DIDISCHEIM, avocat; Jean-Baptiste THOMAS, directeur de la société à Feluy[2].
Néanmoins la société en liquidation continue ses
activités.
Les pertes de la société au 31-3-1906 se montaient à
131.669, 79 frs et pour le seul exercice de 1906-1907 à 49.324,24 frs.
Vers 1905, les liquidateurs décident de louer 1es
installations au plus offrant, Victor HENNEAU, appareilleur de la Société
Saint-Georges , est intéressé, i1 demande l'autorisation de faire un relevé des
différents bancs des carrières de la société à Feluy et Arquennes, afin de se
rendre compte si l'extraction est viable pour une entreprise de taille plus
modeste que celle de la société anonyme.
En voici la teneur:
Dénomination des
bancs Epaisseur
Qualité
De 0 à 10
m ., minces noires.
Ier délit à la terre dit Routy
1. Grise litée 0,65
passable
2. Quinze pouces 0,60
bon
3. Tennes de dalles 0,30
veineux
4. Trente pouces
0,80 très bon
5. Trois pieds minces (l'un sur l'autre) 0,90 veineux
6. Premières belles (2 minces) 0,60 très bon
7. Dix-huit pouces 0,50 très bon
8. Tenne au charbon 0,30
mauvais
9. Géo 0,50
passable, taches blanches
10. Six pieds minces avec warone 2,00 veineux, taches blanches
Deuxième délit à la terre
11. Marleu 0,60
bon, taches blanches
12. Tenne à balcons 0,30
très bon
13. Brocks 0,60
bon
1.4. Scaffottes 1,00
très dur, coquillages
15. Deuxième belles (2 minces) 0,70 très
bon
16. Noires tennes 0,80
veineux
17. Cinq quart 0,40
bon, dur
18. Broyasse 1,10
mauvais
19. Trois pieds minces 1,10 passable, se refend en 3.
20. Deux pieds et demi 0,75 passable
21. Quatre pieds 1,25
passable géo
22. Géo (2ème) 0,70
passable géo
23. Premiers 5 pieds 1,50
passable géo
24. Banc d'un mètre 1,00
passable géo
25. Deuxième 5 pieds 1,30 passable géo
26. Sept pieds 2,00
mauvais gris
27. Six pieds 1,60
veineux gris
28. Banc d'or 1,10
mauvais gris
29. Diamant 1,10
mauvais gris
30. Tenne au stanye 0,40
mauvais, très veineux
31. Banc de gris crayas 3,25 gris dur , poreux mauvais.
L'inclinaison est de 8,5% [1]
Victor HENNEAU[2] s'associa
à d'autres personne et créa une société par commandite simple sous la raison
sociale "Henneau et compagnie". Il habitait Place du Trichon, dans l'ancienne
ferme des Pennart. I1 est probable
qu'on n'extrayait plus beaucoup de pierre, mais qu'on fit fonctionner des
ateliers de taillerie.
En juin 1908, la société "Henneau et Cie. " demanda un dégrèvement d’impôt foncier: Le
Collège des bourgmestre et échevins délibéra le 22-6-1908 sur cette
réclamation, elle nous fait connaître les installations de la carrière:
" Attendu que:
- Le four à chaux section C.622e, a un revenu bâti faisant 150 frs.
- Le cabestan à vapeur, section C.614c. a un revenu
bâti faisant 44 frs.
- La machine d'extraction à vapeur, section C.614d. a
un revenu bâti faisant 136 frs.
- L'atelier de marécha1, section C.613i. a un revenu
bâti faisant 184 frs.
- Le cabestan à vapeur, section C.460f. a un revenu
bâti faisant 52 frs.
- Le cabestan à vapeur, section C.460h. a un revenu
bâti faisant 52 frs.
- La machine d'épuisement, section C.460i. a un revenu
bâti faisant 44 frs.
- La partie de magasins et écuries, section C.318q. a
un revenu bâti faisant 108 frs.
- Le chantier, section C.318 l. a un revenu bâti
faisant 118, 28 frs.
- Le chantier, section C.46Bc. a un revenu bâti
faisant 69,84 frs.
- La partie de la carrière, section C.460m. a un
revenu bâti faisant 688,55 frs.
ont été inoccupés pendant l'année 1907, décide
d'accueillir favorablement 1a réclamation[3].
Le 14-10- 1908, Victor Henneau-Darquenne, locataire de
la « Société Anonyme des carrières Saint-Georges » réclame un dégrèvement d'impôts pour les
parcelles C. 468c et C. 460m, qui sont sous eau et de ce fait non exploités.
La société Saint-Georges en liquidation a
définitivement cessé ses activités au commencement de la première guerre
mondiale.
Un forage exécuté en 1928 au fond de la carrière
Saint-Georges pour l'alimentation en eau de la cartonnerie, permit d'établir la
coupe suivante[5]:
[4] GRAUX Alain, Les mutations d'une usine: La
sucrerie/cartonnerie de Feluy, in "B.S.R.H.F.E.S. " n°4 1994, p. 30.
[5] CONIL R., Recherches stratigraphiques sur les terrains
dinantiens dans le bord Nord du bassin de Namur (Région s'étendant de la Dendre
à 1'Orneau) . Mémoire couronné par l'Académie royale des Sciences, Gembloux,
1958.
a) "Délit à la terre"
b) 23, 40
m . "Petit granit".
Dans les 2
m . inférieurs, calcaire moins crinoïdique et calcaire à
taches blanches.
c) 12,50
m . Calcaire et dolomie crinoïdiques.
d) 11,10
m . Dolomie et calcaire crinoïdique très dolomitique.
e) 4,40
m . Calcaire crinoïdique et dolomie, lits schisteux, cherts
noirs.
f) 4,50
m . "Petit granit"
g) 2 m .
Dolomie
h) 4,60
m Calcaire crinoïdique ou compact, cherts vers le haut, inter
stratifications schisteuses vers le bas.
i ) 13,90
m . Calcaire parfois crinoïdique avec nombreuses terrasses
et lits de schistes.
[1] CONIL R., Recherches stratigraphiques sur les terrains
dinantiens dans le bord Nord du bassin de Namur (Région s'étendant de la Dendre
à 1'Orneau) . Mémoire couronné par l'Académie royale des Sciences, Gembloux,
1958.
Vue sur la carrière et les bureaux du Trou du Comte
Vers 1884, la Société Saint-Georges exploita le "Trou du Comte"
à Arquennes. Elle couvre une surface de 6 ha . Cette exploitation dura 18 ans, mais elle ne rencontrait pas les
espérances de ses actionnaires.
Un élévateur composé de six piliers surplombait la
carrière du comte et supportait des rails et un pont roulant ramenant les
pierres du fond de la carrière à l’aide d’un plan incliné.
Une expertise effectuée par Victor Henneau à la fin du XIXe siècle, renseigne pour
le trou du Comte:
De 0 à 4.00 m ., raches et pierrailles.
Six pieds de mince 1,5
0 m . très veineux
Warone 0,5
0 m très veineux
Marleu 0,56 m passable
Mince à balcon 0,25 m très bon
Brock 0,50 m bon
Scaffottes 0,50 m bon
Six pouces 0,15 m très bon
Deux belles 0,85 m bon
Mauvais mince 0,25 m mauvais
Deux pieds demi 0,73 m mauvais
1er 5/4 0,40 m bon
Broyasse 0,85 m passable
Trois pieds minces 1,10 m passable
2ème 5/4 0,45 m bon
Quatre pieds 1,40 m bon
Minces sous 4 pieds 0,15 m mauvais
Mince à pôt 0,36 m passable
Deux 24 pouces 1,40 m bon
Banc d’un mètre 1,00 m bon
Cinq pieds 1,55 m bon
Sept pieds 1,95 m mauvais
Six pieds 1,60 m mauvais
Banc d’or 1,10 m mauvais
Diamant 1,05 m mauvais
Mince au stranye 0,40 m très mauvais
L’inclinaison est de 13%
Comme on
peut le constater, cette analyse des strates nous montre que cette carrière ne
présente plus que deux lits de pierre excellente ne faisant que 40 cm d’épaisseur, et 5,20 m de pierre de bonne
tenue, le reste n’étant plus fort valable pour l’exploitation.
C’est
cette étude qui poussa les administrateurs de la société anonyme Saint-Georges
à délaisser l’exploitation de la carrière du Comte.